lundi 30 mai 2016

Musée : Centre d'Histoire de la Résitance et de la Déportation


Jeudi 20 avril nous sommes allaient au musée de la résistance et de la déportation C.H.R.D. Une guide nous a accompagnée pendant 1h30. Elle nous a racontée l'histoire de la guerre de 1939 à 1945.

Le lieu du musée avant la guerre était un centre pour former des infirmiers militaires. A l'arrivée des nazis il a été occupé par la Gestapo dont le chef était le SS Klaus Barbie surnommé le boucher de Lyon. La guide nous a dit que le 26 mai 1944 le bâtiment a été bombardé par les alliés faisant 700 morts dans le quartier Jean Macé. La cible était le réseau ferroviaire. C'était donc d'autant plus tragique. Ce bâtiment a été choisi en mémoire de ce qui si était passé.

Cliquez sur le lien ci dessous pour visionner une courte vidéo sur les bombardements du 26 mai 1944 a Lyon :
http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/2014/05/26/la-ville-de-lyon-bombardee-c-etait-le-26-mai-1944-485329.html 

Carte de France sous le régime de Vichy


Jean MOULIN sur la demande du général DE GAULE a pour mission de réunir tous les groupes de résistance en France afin de mieux combattre les Nazis. Elle nous a expliqué que la France était coupée en deux de 1939 à 1942, avec une zone occupée et une zone libre puis de 1942 à 1945 entièrement occupée. Elle nous a montré des pliages de cochons qui faisaient  la tête d'Hitler pour faire rire les gens et les décontracter. Ceux-ci étaient envoyés par avion de l'Angleterre. 






Le guide a été interpelé sur un cimetière sénégalais, par un des visiteurs qui vient de Chasseley, que l'on appel un tata sénégalais. Ce sont les tirailleurs Sénégalais qui y sont enterrés.

Cimetière Sénégalais de Chasselay appelé Tata
 La guide nous a montré des cartes de juifs . C'étaient des faussaires qui fabriquaient ces cartes pour sauver des juifs et des résistants. 
  
"Cette visite nous a bien plus car c'est l'histoire qui reste dans le souvenir des anciens et que surtout même si la paix a été signée que cela ne recommence jamais."
Jean Luc et Catherine